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<blockquote>„En 1957, W. Krauss l’appela à l’Académie des sciences de Berlin, où il était en train d’initier des recherches sur les Lumières françaises et allemandes. C’est là que commença sa carrière comme chercheur. On connaît son étude sur la querelle des Anciens et des Modernes, qui est un des très rares ouvrages étrangers cités, et le seul en allemand, dans la récente ''Littérature française du 18<sup>e</sup> siècle'', par M. Delon et P. Maladain (P.U.F., 1996): H. Kortum incarnait parfaitement le projet de cette recherche ouverte et novatrice que W. Krauss a inspiré. Grâce à son aptitude pédagogique, il a beaucoup contribué à former cette équipe des dix-huitiémistes berlinois à l’Académie des sciences de la R.D.A., qui, aujourd’hui, est intégrée dans le Centre de recherches sur les Lumières européennes à Potsdam“ (Geissler, 1997, 13).
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Rolf Geissler, Nécrologie, Bull. de la Soc. Française d’Étude du XVIII<sup>e</sup> Siècle 30, n° 26, Octobre 1997, 13; Storost, 300 Jahre romanische Sprachen, 2001, II, 443, bes. I, 413; Krauss, Briefe, 2001, 998; Werner Mittenzwei, Zwielicht. Auf der Suche nach dem Sinn einer vergangenen Zeit. Eine kulturkritische Autobiographie, Leipzig 2004, 281-289; Seidel, Vom Leben u. Überleben, 2005, 325, bes. 164; Naumann, Zwischenräume, 2012, 313; Anton Hiersche, Wie ein Traum verloren wurde. Erinnerungen eines Slawisten, Berlin 2013, bes. 308-314 (P); pers. Auskünfte Sabine Kebir.
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