Rochat, Alfred: Unterschied zwischen den Versionen

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Über einen bisher unbekannten Percheval li Galois. Eine literarhistorische Abhandlung, Zürich 1855 (Diss.); Bertran de Born. Étude sur un poète du douzième siècle, Vevey 1859; Ein altladinisches Gedicht in Oberengadiner Mundart, Zürich 1874.
 
Über einen bisher unbekannten Percheval li Galois. Eine literarhistorische Abhandlung, Zürich 1855 (Diss.); Bertran de Born. Étude sur un poète du douzième siècle, Vevey 1859; Ein altladinisches Gedicht in Oberengadiner Mundart, Zürich 1874.
  
<blockquote>„La même année [=1857] Rochat obtient la ''venia docendi'' pour les philologies germanique et romane. On peut donc considérer qu’à cette date la philologie romane commence à connaître un certain succès, même si le nombre d’étudiants reste toujours nettement inférieur à l’offre des enseignements académiques: de quarante-six cours annoncés de 1857 à 1872 et répertoriés par Wartburg, Rochat n’en fit que huit! Cette absence de public n’empêcha pas pour autant le latiniste bâlois Eduard Wölfflin, alors jeune privat-docent, d’annoncer un cours sur le latin vulgaire dès 1869, soit un an après la parution du dernier volume de la somme de Hugo Schuchardt sur le vocalisme du latin vulgaire“ (Fryba-Reber, 2013, 113-114).
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<blockquote>„La même année [=1857] Rochat obtient la ''venia docendi'' pour les philologies germanique et romane. On peut donc considérer qu’à cette date la philologie romane commence à connaître un certain succès, même si le nombre d’étudiants reste toujours nettement inférieur à l’offre des enseignements académiques : de quarante-six cours annoncés de 1857 à 1872 et répertoriés par Wartburg, Rochat n’en fit que huit! Cette absence de public n’empêcha pas pour autant le latiniste bâlois Eduard Wölfflin, alors jeune privat-docent, d’annoncer un cours sur le latin vulgaire dès 1869, soit un an après la parution du dernier volume de la somme de Hugo Schuchardt sur le vocalisme du latin vulgaire“ (Fryba-Reber, 2013, 113-114).
 
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KrJb 12, 1913, IV 10-11 (Walther v. Wartburg); Fryba-Reber, Philologie et linguistique romanes, 2013, 113-114.
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KrJb 12, 1913, IV 10-11 [Walther v. Wartburg]; Fryba-Reber, Philologie et linguistique romanes, 2013, 113-114.
  
 
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Aktuelle Version vom 24. Mai 2016, 18:35 Uhr

Alfred Rochat (17.4.1833 Vevey – 13.10.1910 Bex); Sohn des freikirchlichen Pastors Charles Rochat (1791/92-1838) u. der Ann Eliza geb. Dorville (†1837)

Verf. Frank-Rutger Hausmann

Romanische u. germanische Philologie

Schulzeit in Tübingen; 1853-55 Stud. Rom. Zürich; 1855 Prom. (Ludwig Ettmüller) Zürich; 1857-72 PDoz. Zürich; zeitweise eng mit C. F. Meyer befreundet; 1872 Beendigung der Dozententätigkeit u. Übersiedl. nach Stuttgart; Mitarbeit an der „Elberfelder Bibel“ d. Verlags Brockhaus.

Über einen bisher unbekannten Percheval li Galois. Eine literarhistorische Abhandlung, Zürich 1855 (Diss.); Bertran de Born. Étude sur un poète du douzième siècle, Vevey 1859; Ein altladinisches Gedicht in Oberengadiner Mundart, Zürich 1874.

„La même année [=1857] Rochat obtient la venia docendi pour les philologies germanique et romane. On peut donc considérer qu’à cette date la philologie romane commence à connaître un certain succès, même si le nombre d’étudiants reste toujours nettement inférieur à l’offre des enseignements académiques : de quarante-six cours annoncés de 1857 à 1872 et répertoriés par Wartburg, Rochat n’en fit que huit! Cette absence de public n’empêcha pas pour autant le latiniste bâlois Eduard Wölfflin, alors jeune privat-docent, d’annoncer un cours sur le latin vulgaire dès 1869, soit un an après la parution du dernier volume de la somme de Hugo Schuchardt sur le vocalisme du latin vulgaire“ (Fryba-Reber, 2013, 113-114).

KrJb 12, 1913, IV 10-11 [Walther v. Wartburg]; Fryba-Reber, Philologie et linguistique romanes, 2013, 113-114.