Leo Wiese (26.1.1871 Bredeney b. Werden a. d. Ruhr – 20.6.1929 Münster); Sohn des Fabrikbesitzers Mathias Wiese
Verf. | Frank-Rutger Hausmann |
Romanische Philologie, bes. Mediävistik
Privatunterr.; Kathol. Rektoratsschule Werden; Abitur Gymn. Carolinum Osnabrück; Stud. RWTH Aachen, K. K. Webeschule Brünn; Praktikum Pittsfield Mass.; Stud. Neuere Sprachen Bonn, Berlin, Paris (Gaston Paris), Florenz; 9.8.1899 Prom. (Wendelin Foerster) Bonn; 23.4.1903 Habil. (Hugo Andresen) Münster; 1.10.1910 o. Prof. Jena (Nachf. v. Wilhelm Cloetta); 7.8.1911 o. Prof. Münster (Nachf. v. Andresen).
1.5.1905 Bayr. Landwehr-Dienstauszeichnung II. Kl.
Mithrsg. Literaturwissenschaftliches Jb. d. Görresges.
Die Sprache der Dialoge des Papstes Gregor. Mit einem Anhang: Sermo de sapientia u. moralium in Job fragmenta, Halle a. S. 1900 (Diss.); Die Lieder des Blondel de Nesle. Kritische Ausgabe nach allen Handschriften. Kommentar zu Blondel de Nesle, Lieder, Halle a. S. 1904 (Nachdr. 1980, 2001) (Habil.-Schr.); (gem. m. Karl Bartsch), Chrestomathie de l’ancien français, VIIIe–XVe siècles. Accompagnée d’une grammaire et d’un glossaire, Leipzig 1908.
„L’année 1904 a été particulièrement féconde en publications de textes lyriques. J’ai examiné ailleurs presque toutes ces publications, ce qui me permettra d’être ici très bref. La plus importante et la meilleure de beaucoup est celle des chansons de Blondel de Nesles par M. L. WIESE, qui est un vrai modèle du genre. M. Wiese n’a pas seulement épuisé dans son Introduction toutes les questions relatives au texte; il est revenu, après De Puymaigre, sur la légende de Blondel et a définitivement prouvé que c’est un simple thème de folk-lore, où il ne faut pas chercher la moindre parcelle de vérité historique. Sur la vie du poète lui-même M. Wiese n’a rien trouvé de nouveau: il conclut, d’après sa langue, qu’il était originaire de Nesles (arr. de Péronne). Il n’a pas donné des chancons une traduction littéraire, mais il y a supléé par d’excellentes notes exégétiques, où il se fait un effort louable pour expliquer le texte dans tous ses détails et suivre le cours, souvent très capricieux, de la pensée“ (KrJb 8, 1904, II 5-6 [J. Bonnard]).
Münster, UA Bestand 5 Nr. 228; Wer ist’s? 1911, 1604; KrJb 12,1913, IV 6; 13, 1915, IV 25.